Attention : je n'y connais rien, je n'ai jamais rien escaladé sur plus de trois mètres, trois mètres et demi et pour moi Fontainebleau c'est déjà l'Annapurna.
Et alors au Cap-Vert, et alors.
D'un côté, il y a des paysages grandioses, de beaux reliefs et de jolies parois. A priori, il y a ce qu'il faut pour qu'un grimpeur fasse miam miam.
D'un autre côté, j'ai comme l'impression confuse que la roche est bien souvent trop friable pour permettre quoi que ce soit, il faut connaître les bons spots. Par ailleurs, il y a du vent la moitié de l'année avec parfois de grosses rafales.
Jusqu'à maintenant, je n'ai jamais entendu parler de voie équipée dans l'archipel ailleurs qu'à Santo Antão où l'espagnol Eduardo propose ses parcours. |