J'embraye sur le sujet "Quad" à Boa Vista. Je poste une lettre écrite par un ami (verbeux et dramaturge ?) sur le thème. Hors sujet pour sûr mais instructif tout de même (à mon avis) ... Mic, je te laisse décider si ce genre de témoignage à sa place sur ce forum, je n?en suis personnellement pas certain
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Les Motos-Quad et les 4X4 envahissent les plages de Boavista !
- Avec le démarrage effectif du tourisme à Boavista, suite à l?ouverture de l?hôtel RIU Karamboa, le nombre de touristes est passé de 4 à 500, à plus de 3000 ! (12 à 14 vols par semaines de 150 à 200 passagers)
- Si une grande partie de ces touristes ne sort pratiquement pas de l?hôtel (surtout ceux du Karamboa et Venta Club), une partie tout de même significative s?aventure sur les plages de Chaves à Sal-Rey.
- La majorité va à pied pour une promenade romantique le long des plages immaculées, malheureusement leur plaisir est quelque peu gâché par un nombre beaucoup trop important de Motos-quad loué par les agences, ou par quelques particuliers résident. Le nombre de Quad en circulation à Boavista doit approcher, ou peut être dépassé les 100 à 200 unités, si l?on compte les quads appartenant à des résidents.
- Etant responsable d?un centre de voile et windsurf situé sur la plage d?Estoril à la sortie de Sal-Rei ou se trouve les entreprises de location de moto quad et de voitures , moi-même, François Guy et tous les pratiquants de windsurf sommes témoins depuis des années et quotidiennement de tous les mouvements sur cette portion de la Baie de SAL REI. Nous avons constaté que les plus indisciplinés de tous les conducteurs de quads sont sans équivoque les clients de la seule agence qui loue sans guide, «QUAD LAND».
- Certains de ces clients louent sans guides, un ou plusieurs jours, non pas pour visiter l?île de Boavista, mais plus pour s?amuser sur un quad, ce sont ceux là ne respecte rien ni personne, seul leur plaisir compte, on les voit partout, sur les plages, sur les dunes dans les champs cultivés, la nuit dans les agglomérations ou les zones résidentielles, se permettant de réveiller des milliers de personnes sans qu?a aucun moment ils ne soient inquiétés par les autorités.
- Je ne parlerais pas du danger pour les enfants que représentent les Quads à grande vitesse en ville?
- Bien Sûr, ils ne circulent pas à l?intérieur de l?enceinte des grands Hôtels, (là un service d?ordre veille à la tranquillité des clients), les fanatiques de motos -quad vont sur les plages, les dunes et dans le reste de l?île, agglomérations comprises, et ni la police, ni la population, ni les autres touristes n?osent rien leur dire bien qu?ils soient très incommodés. Pourquoi ?
- Pour moi, qui suis pratiquement le seul à faire une opposition active, il y a plusieurs raisons à ce laxisme généralisé
- 1º/ Lorsque l?on va se plaindre à la Police il n?y a pas souvent des suites, sous prétexte que l?on a pas suffisamment de preuves, ou encore que l?on a n?a pas assez de personnel pour courir après tous les délinquants, et pas moyen de forcer un policier á vous aider, car de victime vous devenez de suite coupable et risquez de gros problèmes?
- 2º/ Les touristes incommodés sont en vacances et ne tiennent pas à perdre une journée pour des démarches qu?ils devinent sans résultat.
(Tant qu?il n?y a pas mort d?homme?.)
- 3º/ L?entreprise qui loue les quads a prêté durant quelques temps une Moto Quad à la police pour effectuer des patrouilles dans les dunes et sur les plages, on peut supposer qu?en remerciement la Police n?ose pas être dure avec les clients de cette entreprise.
Il est bon de signaler que nous avons été témoins de ces patrouilles, ou les policiers passaient eux même à grande vitesse à quelques mètres des touristes allongés sur la plage. Peu après leur passage, d?autres quads empruntaient la pistes qu?ils avaient ouverte?
Nous en avons même vu un en uniforme, avec une jolie fille en maillot sexy derrière lui, je ne pense pas qu?elle était en état d?arrestation car elle riait beaucoup, bien sûr ce jour là, une dizaine de témoins ont tous crus rêver en voyant cela, mais c?est tout de même étrange que tous aient fait le même rêve?.
Le comandant devrait peut être redéfinir la façon d?exécuter les patrouilles ?
Je vais maintenant raconter mes réflexions et mes expériences pour essayer d?aider à résoudre ce problème de manière raisonnée et logique.
Tout d?abord nous sommes, j?ai entendu dire, en démocratie et dans un état de droit.
Il y a encore une majorité écrasante de «non quadiste» à Boavista.
La loi en démocratie est je crois dictée par le plus grand nombre.
Parmi les «quadistes» il y en a quand même une majorité qui sont intelligents et bien éduqués, qui marche souvent à pied sur les plages et qui dorment la nuit, je suppose qu?ils seront d?accord pour voter une loi ou un règlement qui interdise la circulation sur les plages et dans les dunes, ainsi que la nuit après une certaine heure dans les zones habitées.
Ce «règlement», sous forme d?«AVISO», je l?ai soumis il y a deux ans ! (En annexe)
Au Juge de Boavista, au Comandant de Police, au Délégué Maritime, au Délégué de Agriculture et Milieux Ambiant, puis à L?Assemblée Municipale, tous l?on lu attentivement, approuvé, et ont applaudit mon initiative. Mais quand il s?est agit de financer une centaine de photo- copies couleurs plastifiées et de les distribuer dans tous les endroits stratégiques, tel que l?Aéroport international, les agences de locations de voiture ou motos tout terrain, la réception des hôtels, aux divers tableaux d?affichage de la mairie.
Personne n?a voulu le faire, ou donner l?ordre de le faire !
Je pense que La Mairie, et surtout son Président, si elle n?avait pas l?argent pour le faire, avait au moins le pouvoir d?exiger la promotion et le financement de ce règlement par les loueurs et vendeurs de voitures ou de motos-quad, car après tout si une réglementation, et une signalisation est nécessaire c?est bien parce que ces entreprises existent. Ce n?est pas au contribuable de payer les frais occasionnés par cette réglementation.
- Pourquoi ne l?a-t elle pas fait ?...
- Peut-être un manque de sensibilité pour l?environnement et la qualité de la vie des touristes et des Boavistens, et un intérêt plus marqué pour les enjeux immobiliers?
Les autres autorités ne l?ont pas fait non plus prétextant qu?elles n?avaient pas de budget prévu pour cela. J?ai demandé à l?organisation Nature 2000 s?ils pouvaient se charger de ce travail dans le cadre de la protection des tortues qui elles aussi à la période de ponte sont agressées par les voitures et les Quads, sur toutes les plages.
Réponse là aussi négative !...
Il est juste de signaler que le seul endroit ou l?affiche de ce règlement a été placardée est la réception du poste de Police de Sal-Rey à l?initiative du Commandant Fonseca, juste après la cession ordinaire de l?Assemblée Municipale où il était présent, et où j?avait distribué une affiche à toutes les personnes présentes, MERÇI Comandant !
Bref, il semblerait que tous les beaux discours des politiques et des ONG concernant la protection de la nature et de la qualité de la vie humaine ne sont que des beaux discours?.
Le coût estimé de ce programme d?affichage était estimé à 10 000 escudos maximum?
Jusqu'à l?ouverture de l?aéroport, depuis 2 ans les touristes à Boa vista n?étaient que très peu nombreux, et les quads eux aussi n?étaient encore pas trop gênants. Deux semaines avant l?ouverture du RIU et l?arrivée des premiers vols internationaux, je décidais de tenter une expérience et d?agir en prévision du changement à venir, à savoir, un millier ou plus de touristes sur les plages de la baie de SAL REY, ainsi que probablement beaucoup plus de Quads pour perturber leurs promenades romantiques?
Tous les quads qui passaient sur la plage d?Estoril devant mon club furent stoppés par moi-même, avec un grand sourire, et aussitôt tout près de moi, je coupais le contact et leur subtilisait la clé immobilisant la moto sur la plage, en leur disant :
- Maintenant, afin de me démontrer que vous n?aviez pas été prévenus qu?il est interdit de circuler en Quad sur la plage. Allez me chercher la personne de l?agence qui vous a loué ce quad et la Police si vous voulez récupérer votre clé.
Voyant que je ne cèderais pas ils furent bien obligé d?aller chercher le bâton pour se faire battre.
Sur les 10 ou 12 quads que je stoppais en une semaine de cette manière, tous perdirent au moins 1 heure pour réunir tout le monde sur la plage, (en flagrant délit)
. Je rendais aussitôt la clé de contact à la Police qui, devant le loueur, confirmait qu?il était strictement interdit de circuler sur la plage, je n?ai toujours pas pu vérifier si la police avait bien appliqué les «multas» ni leur montant ?
Au bout d?une semaine le Comandant de police m?a demandé d?arrêter de piquer la clé des quads en infraction, il m?a dit de relever seulement le Nº d?immatriculation et de téléphoner à la station de police, il se chargerait d?appliquer la «multa».
Les Quads continuèrent par la suite à passer, chaque jour au moins 3 ou 4, de plus en plus vite, comme s?ils savaient que nous allions les dénoncer. (A croire qu?ils avaient été prévenus de ma présence par la vendeuse de l?agence, qui elle aussi, quant elle fait le guide pour les excursion en groupe, aime bien passer sur les plages entre Estoril et Chaves).
Les Nº d?immatriculation à l?arrière de certains Quads son devenus si petits, qu?on ne peut pas les lire á moins d?un mètre ! (Illégales)
Bref, je n?arrivais plus à en dénoncer un par manque de preuves?.
Jusqu?au jour où il arriva «un accident!.. »
On pourrait presque appeler cet accident : Un attentat !
Le 23 décembre 2008 à 16 h, sur la plage d?Es toril à Boa vista, 2 quads passent à très vives allures devant le club, ils passent également à 2 m d?une famille italienne allongée sur la plage. Je vis la scène de loin, et ne put intervenir, mes clients étaient révoltés par tant de stupidité et de manque de respect?
10 mn plus tard je vis 3 nouveaux quads sur la plage d?Estoril, ils arrivaient de Sal Rei se dirigeant vers nous a grande vitesse passant à quelques mètres des clients du Tortuga, tout près d?un groupe d?enfants qui jouaient devant chez Attila, Rosy sa femme tenta de les faire ralentir, ils lui envoyèrent un bras d?honneur?
Je me postais devant le club, en avant de mes clients, pour les obliger à ralentir afin de leur expliquer qu?ils n?étaient pas autorisés á circuler sur cette plage.
Immédiatement je vis que l?individu qui conduisait la première moto avait l?air menaçant.
Je lui demandais en Anglais avec un grand sourire.
- Arrêtez vous une seconde, c?est pour une photo souvenir !
Il se retourna et vit qu?effectivement un de mes clients s?approchait pour faire une photo, là il accélérât, et sans chercher à m?éviter, bien au contraire, il me renversât, et me passât carrément sur la jambe gauche, m?arrachant au passage toute la peau du tibia.
Les deux autres quads profitèrent de la brèche pour s?échapper à vive allure en direction de Chaves.
L?action entre le moment ou les trois quads s?étaient arrêtés et le moment où ils ont réaccelèrés n?a duré que 10 secondes. Les 20 témoins qui ont vu la scène furent révoltés, certains même lancèrent des pierres en direction des fuyards, quant à moi je me retrouvais avec les deux jambes en sang, mais heureusement pas de fracture.
Aussitôt nous téléphonons à la Police, qui nous répond qu?ils arrivent tout de suite?
35 minutes plus tard ne voyant rien venir je rappelais, et là on me dit venez nous voir au poste de police, on vous passera un «guia» pour l?Hôpital.
Je me fît conduire à la police et là signalait à l?agent de service que je souhaitais déposer une plainte formelle contre le conducteur inconnu pour l?instant du quad appartenant à la Ste QUAD-LAND, Nºd?immatriculation : ST 49 34
Nous avons la photo souvenir, elle n?est pas très bonne mais on peu identifier les plaques.
On m?envoya d?abord à l´Hôpital, ou je fus soigné par l?infirmière Natalia (la mère de mes 4 enfants)
En sortant de l?hôpital je retournais à la Police pour formuler ma plainte je dis au policier qu?il était facile d?identifier le coupable que QUAD-LAND devait avoir la liste des Quads loués ce jour et peut-être les passeports. Ils me dirent qu?ils allaient aller vérifier, mais ne m?invitèrent pas à les accompagner pour identifier le conducteur. Ils revinrent en me disant que le quad était bien de chez QUAD LAND, mais qu?ils n?avaient pas les passeports.
Je repassais moi même chez QUAD-LAND, qui se trouve à 30 m de la Police, la désagréable fonctionnaire du lieu me dit : - Non nous n?avons pas les passeports !
Je savais qu?elle mentait, je décidais de contacter son patron Leo pour en avoir le c?ur net.
Ce n?est que le lendemain matin vers 8 heures que je réussis à le voir, et là immédiatement Mr Leo me dit : -Si bien sûre, nous avons les passeports, je peux te les montrer si tu reconnais ton agresseur, nous le portons à la police.
Le premier qu?il me montra fût le bon ! (sans aucun doute de ma part.)
Le passeport, s?averrait être celui d?un citoyen Britannique.
Mr Adam Keith Lxxxxxxxxxx, passport Nº : 0945588xx.
[Note du webmaster: les données personnelles ont été retirées. Je ne suis pas sûr que l'auteur de ce texte aimerait qu'on publie ses données à lui à chaque fois qu'il commet lui-même des indélicatesses, il sait de quoi je veux parler]
Nous le laissions aux bons soins du comandant de Police, qui n?avait plus qu?à attendre que l?Anglais se présente pour le récupérer après avoir, rendu la moto chez QUAD-LAND
Il ne la rapporta que le 24 décembre à 3 h, la vendeuse était de service, mais au lieu de passer à la Police, il sautait dans un taxi et rentrait à son Hôtel, RIU Karamboa.
Etant témoin de la scène je me rendis au poste de police et signalait au sub-chef que mon agresseur était au Riu.
Il me répondit de ne pas m?inquiéter qu?il ne pouvait pas fuir sans passeport.
Je lui demandais de surtout ne pas le laisser repartir sans une confrontation avec moi, et une tentative d?arrangement à l?amiable pour mon préjudice à savoir au moins 2, 3 ou 4 semaines sans pouvoir donner des cours de windsurf. En haute saison, je donne entre 1 et 3 cours par jour à 50 ?, soit une perte d?au moins 1000 à 3000 ?, si toutes fois je suis vite rétabli.
Je savais par Mme la Procureur que j?avais rencontré le 24 à 15h au tribunal, que, seul le juge pouvait interdire le départ du coupable ou au moins exiger une caution. Or le juge était déjà parti en vacances dés le 23.
Je commençais à sentir que mes chances de faire arrêter le «Hooligan» s?amenuisaient?
Et, comme je le pressentais, la police rendit le passeport au Britannique. Ils m?ont dît qu?ils avaient mis une multa de 100 ?, pour avoir circuler sur la plage.
Moi, si j?ose dire, ça me faisait une belle jambe, je pense que mes chances de réparation pour le préjudice subi sont maintenant fort compromises?
Morale de cette histoire :
Il est «peut-être interdit» de passer sur les plages, mais il n?est pas interdit de passer sur les usagers des plages !!!
J?espère au moins que mon aventure servira à faire réfléchir les autorités municipales et gouvernementales.
Je pense qu?il est urgent de prendre les mesures suivantes :
- La réglementation doit être publiée très rapidement et largement diffusée.
- Les grandes plages populaires,balnéaires et touristique doivent êtres strictement réservées aux baigneurs, promeneurs à pied, et pratiquants des sports nautiques non motorisés. Ces grandes plages, tel que:
- Santa Maria à Sal, La baie de Sal Rei à Boavista, (du MARINE CLUB jusqu?a VENTA CLUB et Moro Branca)
- La Ginha, Baia das Gatas, São Pédro à São Vicente,
- Quebra Canela Gamboa, Tarrafal, São Francisco, Praia Baxo à Santiago.
Tolérance 0 sur toutes ces plages aux Véhicules 2 ou 4 roues c?est une question de civisme, Est-il permis de se faire bronzer sur les routes ou autoroutes ?
- Pour que cette loi soit respectée, la Société Civile doit collaborer avec la police, et ne pas hésiter à dénoncer.
- Les «multas» doivent êtres dissuasives et systématiquement appliquées.
- La police doit mieux défendre les citoyens victimes, si on ne veut pas que ces mêmes citoyens soient tentés de se faire justice par eux même?
- On doit réserver (pour des raisons de sécurité évidentes) la location de Quads aux excursions en groupe et avec guides professionnels, formés, et responsables de la sécurité de leurs clients et des autres usagers.
- On doit interdire la location de véhicules tout terrains, voitures 4x4 et Quad sans chauffeurs afin d?éviter les abus, et, pour des raisons de sécurité. Boavista c?est grand, et désert. Si un touriste qui conduit seul un quad ou une voiture 4x4, a un accident en dehors des pistes fréquentées, le temps qu?on le retrouve il sera probablement mort?
-Si il existe un marché de fanatiques de motos ou de quads qui souhaitent «s?éclater», on peut leurs concéder un terrain fermé quelque part dans l?île, loin des habitations, comme cela existe partout en Europe. Bien sûre ce ne sera pas gratuit !
- La société QUAD-LAND et son manager Mr LEO sont des gents sérieux et compréhensifs, ils sont prêt à collaborer avec la mairie pour que tout soit résolu dans une bonne entente, encore faut-il que la Mairie, les autorités Maritimes, et le Ministère de l?Agriculture et Embiente se décident à régler le problème, et vite !
- S?il faut mettre en place une signalisation, facturer son coût aux entreprises qui vendent et loue des véhicules aux touristes. ( Cette signalisation et information est destinée à leurs clients.)
- La Direction Générale du tourisme doit être le Maître d??uvre de cette règlementation car le problème n?est pas exclusif à l?île de Boavista, il existe aussi à SAL et São VICENTE, et très bientôt dans les autres îles.
- S?il faut plus qu?un règlement, et qu? une loi doit être crée et votée au Parlement, les députés aussi doivent se mettrent au travail, je pense que pour une fois on pourrait assister à un vote unanime des tous les députés quelque soit leur bord politique !
Au-delà de la publication de mes aventures et de mes réflexions à BOAVISTA, je ne peux malheureusement plus faire grand-chose, je compte sur ceux qui la liront pour que cela serve à améliorer notre qualité de vie et notre environnement.
IL SUFFIT D?OSER !
- Si le gouvernement n?ose pas règlementer
- la police n?ose pas fiscaliser, et la justice n?ose pas juger et punir.
- Mais ! Si la Société civile, elle, OSE exiger des autorités qu?elles agissent
Alors?. il nous reste un espoir?
Ecrit par François Guy en Français sur la plage d?Estoril à Boavista le 31 décembre 2008
Citoyen Capverdien et Français, né au Vietnam en 1952, depuis 24 ans au Cap-Vert, résident permanant à Boavista depuis 15 ans, ayant fait venir les premiers touristes à Sal en 1985, puis à Boavista en 1989.
Travaillé de 1990 à 94 au Ministère du tourisme comme conseillé pour le développement des sports et activités touristiques.
Pionnier du windsurf à CABO VERDE, ex vice champion du monde et, Professeur de windsurf et de voile depuis 1975
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Pour vos commentaires :
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Amaury